Il est à l’affiche de Hors les murs au cinéma et des Revenants sur Canal+. Il a réalisé un court métrage et écrit actuellement un long. Mais il est avant tout acteur, enchaînant les petits rôles (Et soudain, tout le monde me manque, Belle épine, Poupoupidou) jusqu’à Jimmy Rivière, qui lui a apporté une nomination au César du meilleur espoir. Depuis, il sait qu’il peut porter un film sur ses seules épaules et compte bien continuer à le prouver.
Ils sont devenus des réalisateurs cultes grâce à un petit film indépendant. Certains le sont restés, cultes et/ou indépendants, d’autres pas. Focus sur cinq cinéastes qui ont su gérer leur premier succès. Ou pas.
Après cinq ans de bons et loyaux sévices, l’actrice remise définitivement son costume de la redoutable avocate Patty Hewes. Sans regret. Enfin, si, quand même un peu.
Qui l’eut-crû ? Elijah Wood est un fan de films d’horreur, au point d’en produire, et il fasciné par les tueurs en série. Il était donc temps qu’il incarne un vrai psychopathe comme celui de Maniac.
Elle reprend son rôle de Letty dans Fast & Furious 6. Une femme qui lui ressemble : forte, indépendante, libre d’esprit et qui ne le doit à personne d’autre qu’à elle-même.
Une nouvelle création originale de Canal+, basée sur le film éponyme de Robin Campillo, où des morts reviennent à la vie et rentrent chez eux. Comme si de rien n’était. Sauf pour les vivants.
A bientôt 18 ans, elle concilie avec difficulté mais bonheur ses années lycées et son début de carrière d’artiste. Elle est chanteuse, découverte grâce à The Voice, et a sorti son premier album. Elle est actrice et joue dans un premier film, La Famille Bélier. L’occasion de revenir sur ses premières fois. Et il y en a beaucoup.
Il veut montrer le monde actuel. Donner à vivre une expérience cinématographique. Captiver, émouvoir et faire réfléchir son public. Le tout avec un style bien à lui.
Même tiré d’une histoire vraie, il semble que Capitaine Phillips a été écrit pour Tom Hanks. Ce film sur un homme ordinaire jeté dans une situation extraordinaire est du sur-mesure pour lui et donne l’occasion de revenir sur sa vision du métier d’acteur et de son parcours sur le grand écran.
Paul Greengrass ne tarit pas d’éloges sur « le grand » Matt Damon. Leur duo est désormais synonyme de films d’action. Un postulat néanmoins réducteur quand on sait de quoi les deux oiseaux sont capables séparément. Une chance, le réalisateur est prêt à emporter son acteur fétiche vers d’autres cieux.
