Elle est la productrice de Steven Spielberg depuis plus de 30 ans et elle ne s’en lasse pas.
Trois questions à Kathleen Kennedy – Interview pour Tintin

Elle est la productrice de Steven Spielberg depuis plus de 30 ans et elle ne s’en lasse pas.
Il est connu pour ces rôles violents, du skinhead de This is England, au cruel chef de bande d’Eden Lake en passant par la tête brûlée de Skins, et aujourd’hui le délinquant endurci des Poings contre les murs. Son rêve est pourtant d’incarner Elvis Presley.
Shia LaBeouf ne peut rien dire de son personnage dans Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal mais il a plein d’anecdotes de tournage. Quand il parle de Steven Spielberg et de Harrison Ford, il le fait avec un profond respect et une grande admiration. Un garçon bien, quoi.
Ray Winstone incarne Mac, le nouveau compagnon de route d’Indiana Jones dans Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal, même si rien ne dit qu’il fait partie des gentils. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il est roublard et plein d’humour. Comme son interprète.
L’actrice bénit ce retour surprise dans la jolie peau de Marion Ravenwood, le plus beau rôle féminin des trois premiers Indiana Jones. Un personnage fort et charismatique au cœur de nombreux mystères dans Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal.
Si George Lucas est confiant quant au résultat d’Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal, il s’attend à une volée de bois vert de la presse et des fans. Comme avec Star Wars Episode I : La Menace fantôme. Mais il s’en fout. Il a fait Le Royaume du crâne de cristal pour le fun.
Quand on lui demande son pire défaut, la réponse de Pierre Niney ne se fait pas attendre : l’impatience. Mais quand on lui demande sa principale qualité, il bredouille, cherche ses mots et finalement, ne trouve rien à dire. Il suffit pourtant d’une petite demi-heure d’interview et de quelques questions pour qu’il les dévoile inconsciemment, ses qualités. Et elles font chaud au cœur.
Connu pour ses rôles dans J’aime regarder les filles, Comme des frères et 20 ans d’écart, il a brillé en ce début d’année dans son incarnation sans faute d’Yves Saint Laurent dans le film éponyme. Actuellement au théâtre pour la Comédie française avec Un chapeau de paille d’Italie d’Eugène Labiche où il chante et danse, il revient en mai sur Canal+ dans sa série loufoque Casting(s). Des grands écarts qu’il adore.
Dès qu’il commence à parler de lui, Laurent Lafitte botte en touche. Il préfère d’ailleurs les personnages qui ne lui ressemblent pas, pour ne rien dévoiler. A l’image de Léon, dans Tristesse Club, qui est tout son contraire, dépourvu d’élégance et de charme. Surtout de charme.
Il s’est surtout fait connaître avec son one man show à l’humour décapant, Laurent Lafitte, comme son nom l’indique. Pensionnaire à la Comédie française, l’acteur a aujourd’hui trouvé un équilibre entre le cinéma et la scène. Dans son dernier film, 16 ans ou presque, il incarne Arnaud Mustier, un avocat philosophe d’une trentaine d’années atteint du syndrome de puberté tardive et qui va faire sa crise d’ado. L’occasion pour Laurent Lafitte de revenir sur son adolescence, entre deux répétions du Système Ribadier de Feydeau.